Voici la couverture tarte à la crème d’un livre que lit l’un de mes collègues. Le tout quantitatif des temps actuels permet en effet de s’approcher un peu plus du rêve utilitariste et capitaliste de l’optimisation universelle, pour le meilleur et pour le pire. Mais cela n’est sans doute qu’un début. À la puissance de l’informatique succédera peut-être celle de son mariage à la biologie. En ces temps de révolution, j’ai l’impression parfois d’un vide intellectuel autour du quantitatif, l’impression que les scientifiques philosophes et les philosophes des sciences occupent peu le terrain de la pensée. Mais est-ce si différent que cela du dix-neuvième siècle finalement ?
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